MA SECONDE VIE

A travers son premier court métrage « Ma Seconde Vie », One O One a souhaité rendre hommage aux soignants des services de réanimation à travers l’histoire de Sophie M., l’un des nombreux médecins réanimateurs en première ligne du combat contre le virus depuis de nombreux mois. Plutôt que de mettre en scène une comédienne, One O One a choisi de filmer une vraie soignante pour illustrer au mieux l’engagement de ces professionnels au quotidien

Cette vidéo met en scène une histoire vraie. Sophie M. n'est pas une comédienne.

#maSecondeVie

Pour visionner les autres formats du spot > RDV sur notre chaîne YouTube

Parce que nous sommes tous concernés,

LE PROGRÈS DE LA RÉANIMATION EST UNE PRIORITÉ POUR CHACUN D’ENTRE NOUS.OFFREZ DES SECONDES VIES

En faisant un don à 101, vous aidez les professionnels de la réanimation à offrir une deuxième vie à tous les patients dont la vie est immédiatement menacée par toutes les pathologies menant en réanimation (Covid-19, complications du cancer, maladies cardio-vasculaires, sepsis, accidents graves…).

Faites un don et offrez à tous les patients, les meilleures chances d’une récupération complète.

Grâce à vos dons, 101 (One O One) agit pour TRANSFORMER LA RÉANIMATIONET SAUVER UN MILLION DE VIES EN 4 ANS

Les Missions de 101 :

1) MIEUX COMPRENDRE LES MALADIES POUR SAUVER DES VIES

“C’est en réanimation que nous sauvons toutes les vies qui peuvent être sauvées” Véronique, 50 ans, médecin réanimateur

Sabine, 45 ans, est une rescapée de la Covid-19. Trois semaines plus tôt, elle s’est retrouvée en réanimation. Une vie professionnelle bouleversée - tous ses rendez-vous annulés – et une vie personnelle qui dépend d’un respirateur pendant dix-huit jours.

Aujourd’hui, Sabine ne comprend toujours pas ce qui lui est arrivé : “J’étais jeune, sportive et en bonne santé… pourquoi ai-je fait une forme aussi sévère ? En réa, ils m’ont dit que cela s’appelle un sepsis et que cela cause 11 millions de morts par an… Comment se fait-il qu’il n’y ait pas de traitement ?”. Six mois après, Sabine est en vie et se prépare seulement à reprendre le travail.

Il y a aujourd’hui trop de questions sans réponse. La recherche doit permettre de sauver plus de vies et d’améliorer les conditions des secondes vies créées par la réanimation. Faute d’investissements en recherche, pas un seul nouveau médicament n’a été créé en réanimation au cours des 20 dernières années. L’exploitation des données collectées au cours du soin doit permettre de mieux définir les modalités de traitements bénéfiques pour chaque patient.

“Tous les jours, nous collectons entre 6 000 et 10 000 points de données par patient en réanimation. Aujourd’hui, 101 contribue à accélérer la recherche clinique en développant des algorithmes d’intelligence artificielle innovants pour prédire le développement de complications, modéliser l’évolution des patients et optimiser les traitements. C’est en réanimation que nous sauvons toutes vies qui peuvent être sauvées. L’enjeu, c’est de développer une réanimation de précision qui garantisse à chaque patient comme Sabine les meilleures chances.”

101 a pour objectif d’accélérer la recherche clinique et fondamentale en finançant des programmes innovants et en utilisant l’intelligence artificielle et les données collectées pour mieux comprendre les maladies des patients que nous soignons.


2) MIEUX SOIGNER GRACE A LA FORMATION

“La seconde vie des patients passera toujours avant la mienne …” Olivier, 30 ans, infirmier en réanimation

La vie de Marc, 20 ans, a basculé brutalement. Un accident de voiture au retour tardif d’un mariage l’a conduit dans un lit de réanimation. Chaque minute compte. L’équipe de soignants applique des protocoles de soins bien précis pour augmenter les chances de survie. Pour les parents de Marc, c’est un choc : “La vie de notre Marc s’est retrouvée en quelques heures entre les mains d’une équipe formidable. Ils surveillent ses constantes vitales nuit et jour, lui donnent ses traitements, prennent soin de lui. Cette équipe lui a sauvé la vie et a donné un second souffle à la nôtre”. Olivier, infirmier en service de réanimation le sait bien et le vit quotidiennement : “Sauver des vies, c’est ma priorité et les protocoles de soin que nous appliquons sont essentiels. Peu importe la fatigue, la seconde vie des patients passera toujours avant la mienne.”

Mieux soigner.png

Sauver des vies passe par l’organisation optimale d’équipes soignantes réactives et compétentes. Les pratiques de soins évoluent constamment ; les résultats de la recherche et des essais cliniques doivent se traduire par une application systématique des mesures qui permettent de sauver plus de vies. Notre programme SATISFACTION combine information et formation.  Puisqu’on ne peut améliorer que ce qui se mesure, SATISFACTION repose sur la mise en place d’indicateurs de performance dérivés de données produites pendant les soins, la formation continue des équipes et l’utilisation intensive des technologies de l’information afin que chaque soignant devienne un acteur de l’optimisation de la performance d’équipe. Appliquer systématiquement les résultats de la recherche, améliorer la qualité et la sécurité des soins, c’est offrir une seconde vie aux patients. Faire un don pour ce programme, c’est financer les plateformes digitales de collecte de données et de formation, nous permettre d’engager des spécialistes de l’éducation en réanimation et à travers eux sauver un million de vies en 4 ans.

101 accompagne les équipes soignantes dans la mise en œuvre d’une stratégie d’implémentation systématique des résultats de la recherche pour améliorer les pratiques, la qualité des soins et ainsi réduire la mortalité.


3) MIEUX ACCOMPAGNER LES PATIENTS ET LEURS FAMILLES PENDANT ET APRÈS LA RÉANIMATION

Mieux accompagner.png

“On ne prend pas rendez-vous avec la réanimation" Pascale, 50 ans, aide-soignante

“Les derniers 150 mètres de course ont failli être les derniers de ma vie. La réanimation m’a vraiment offert une seconde vie » raconte Georges, 65 ans, retraité mais marathonien avec de beaux records à son actif. “Je ne me souviens de rien de l’activité intense autour de moi lors de mon arrivée en réanimation - ma famille m’a raconté les efforts déployés par l’équipe lorsque ma vie était au bout de ces machines et que j’ai développé plusieurs complications… Moi je n’oublierai jamais l’humanité des équipes lors de mon réveil de ce coma”.

Comment reprendre le cours de sa vie après 2 semaines de réanimation, lorsque l’on vous annonce au sortir du coma que votre cœur s’est arrêté pendant de longues minutes ? Le traumatisme psychologique a été intense pour Georges. Dans le contexte de crise sanitaire actuel, les visites n’étaient pas autorisées. “Ma femme et mes enfants n’ont pas pu me rendre visite : on ne prend pas rendez-vous avec la réanimation… Retrouver les miens, c’était ma priorité. C’est pour eux que j’ai tenu, grâce aux soins et au dévouement sans faille des équipes soignantes”.

Sa famille, quant à elle, déplore la rupture brutale de contact avec Georges : “Nous avions besoin de le voir, de le soutenir et d’être auprès de lui. Heureusement que nous avons gardé un contact privilégié avec l’équipe soignante qui nous a beaucoup rassurés et accompagnés dans ces moments difficiles. Aujourd’hui, Georges doit réapprendre à vivre normalement et reprendre confiance dans l’avenir.”

Afin d’atténuer le traumatisme et l’impact psycho-social de la réanimation, 101 soutient les patients et leurs familles à travers le déploiement de programmes d’accompagnement pendant et après le séjour en réanimation pour assurer la qualité des lendemains dans le retour de cette seconde vie.